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Richard Martineau critique solidement La Presse et Radio-Canada

Il ne mâche pas ses mots !

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Après avoir émis de solides critiques envers un éditorial du Devoir, Richard Martineau fait de même, cette fois-ci envers le quotidien La Presse et Radio-Canada. 

Vendredi, sur les réseaux sociaux, le chroniqueur du Journal de Montréal et de QUB Radio n'a pas mâché ses mots en critiquant le tweet partagé par un journaliste de la chaîne publique de télévision. 

« Radio-Canada vient de découvrir qu'il y a de la censure dans les universités ? Wow !!!! Mieux vaut tard que jamais... Si Le Journal de MTL dit qu'il pleut, R-C va dire : " Ouan, attendons de lire La Presse pour voir si c'est vrai... " », écrit-il sur Facebook, avec une capture d'écran montrant un tweet du journaliste de Sébastien Bovet qui commentait une chronique de La Presse.

Radio-Canada vient de découvrir qu'il y a de la censure dans les universités ? Wow !!!! Mieux vaut tard que jamais......

Posted by Richard Martineau on Friday, October 16, 2020

Rappelons que, mercredi, Richard Martineau avait également émis des critiques envers un autre média, cette fois, le quotidien Le Devoir. 

Dans une chronique intitulée La religion de l'Autre, en déclarant que « Le Devoir n’est plus Le Devoir », à la suite d'un désaccord avec un récent éditorial du directeur du quotidien, Brian Myles. 

« Le journal fondé par Henri Bourassa­­­ n’est plus que l’ombre de ce qu’il a déjà été. Jadis. Naguère. Quand les intellectuels de gauche ne ressentaient pas le besoin de se rincer frénétiquement la bouche avec du Lysol quand ils prononçaient le mot "nationalisme", » écrit Richard Martineau dans le Journal de Montréal au sujet de l'article de Brian Myles par rapport aux défis du nouveau chef du Parti québécois, Paul St-Pierre Plamondon. 

Il en a également profité pour décocher une flèche à La Presse et Radio-Canada : « Sur les ondes de Radio-Canada ou dans les pages de La Presse, ce discours qui associe le mouvement souverainiste à l’intolérance, à la fermeture et à l’exclusion (sans oublier les fumeux de pipe en bas bruns qui s’ennuient du curé Labelle) ne surprendrait personne », dit-il. « Mais dans les pages du Devoir ? Sous la plume de son éditeur ? Vraiment ? On est rendu là », ajoute le chroniqueur. 

« Que même Le Devoir laisse sous-entendre­­­ que le mouvement souverainiste est tenté par le racisme ethnique est une honte... », conclut-il. 

Lisez sa chronique complète ici


Source: Facebook