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Louise Sigouin fait des confidences sur son rôle à Si on s'aimait

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Les téléspectateurs de Si on s'aimait sont nombreux à vénérer Louise Sigouin, qui prodigue souvent de précieux conseils aux candidats de la téléréalité. En entrevue au Journal de Montréal, la sexologue y est allée de quelques confidences sur son rôle à l'émission. 

Elle souligne d'abord le potentiel amoureux, plus présent cette saison-ci que durant les deux précédentes. « Une des différences, c’est qu’on sent beaucoup le potentiel amoureux dès le départ de l’émission, ce qui est quand même agréable et fascinant. On couvre des sujets qu’on n’avait pas encore abordés, comme l’anxiété de performance, qu’on a vue avec Stéphanie, qui a un peu outrepassé ses limites. Les candidats de cette année ont une meilleure connaissance d’eux-mêmes. Sans avoir fait de démarches comme telles, ils ont une introspection différente, et arrivent avec une connaissance différente de qui ils sont. Mais ils sont quand même coincés dans leurs "patterns", et c’est ce qui rend l’émission intéressante en ce qui me concerne, parce que c’est le but de l’exercice », a-t-elle confié. 

« Si on a des duos qui survivent à l’expérience, ça donne tout un sens à l’émission et à la démarche qu’on leur propose. Mais, quand il n’y a pas de couple qui se forme, il y a quand même beaucoup d’acquis que les participants pourront éventuellement appliquer dans d’autres expériences relationnelles. Souvent, on omet de constater l’importance d’apprendre à se connaître, pour ensuite pouvoir nommer clairement ce qu’on veut ou pas, nos besoins, nos difficultés. C’est sûr que ça facilite toujours le travail quand on entre en relation », a-t-elle ajouté. 

Elle a d'ailleurs donné sa propre opinion sur les quatre paires de candidats qui sont à l'écran cet automne. 

« Audrey et Dominic sont deux intenses, ils sont très passionnés. Leur défi sera, quand il y aura des accrochages et des inconforts, de gérer cette intensité de façon adéquate. Marie-Denise et Tim sont le reflet des gens de leur âge qui ont appris à vivre seuls et qui sont bien dans leur vie, leurs habitudes, leurs rituels. Pour eux, la relation doit se présenter comme un plus, pour leur donner le goût de s’investir et de faire un pas dans l’engagement. Isabelle et Éric-Guy sont beaucoup dans la lenteur. Avec eux, il n’y a pas de gros flamboiement ou de gros éclat, mais ils nous permettent de constater qu’on peut apprendre dans la légèreté. Ils auront le défi de s’ouvrir et d’accepter de vivre de nouveaux dépassements. Et François et Vicky, eux, incarnent l’authenticité à l’état pur. Ils prennent leur temps, font un pas en avant et deux pas en arrière. Jamais ils ne remettent totalement l’engagement en cause, ce qui fait que leur duo se développe avec beaucoup de sécurité tout au long du processus », explique-t-elle. 

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