Monde de Stars

On parle d'Olivier Primeau dans Forbes!

WOW! Tout un accomplissement!

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Olivier Primeau, le propriétaire du Beachclub de Pointe-Calumet, est très fier de lui et il a raison de l'être! Le jeune entrepreneur a accordé une entrevue à Martin Latulippe du magazine Forbes France. C'est d'ailleurs hier qu'Olivier Primeau partageait l'article via une publication Facebook où il n'arrive toujours pas à croire qu'il fait partie du célèbre magazine : « Maman j’ai fais le Forbes. Tout ça est grâce à vous la gang... je vous aimes tellement vous avez pas idée. Beach day every F***** day ». 


 

Aujourd'hui, le Beachclub de Pointe-Calumet fait partie du top 50 des meilleurs clubs à travers le monde. C'est d'ailleurs le plus grand club extérieur en Amérique du Nord! Dans l'article, Olivier Primeau, 32 ans, revient sur son acquisition des lieux trois ans auparavant :  

« Je ne connaissais pas l’endroit, je suis arrivée un samedi après-midi et j’ai réalisé qu’il y avait 5 000 ou 6 000 personnes en train de faire la fête sur une île de sable, devant un lac privé, avec des palmiers. C’est un paysage rare au Québec ! Je suis donc allé voir le propriétaire et je lui ai demandé si cet endroit était à vendre. Trois semaines plus tard, la transaction été complétée ». C'est appuyé de son père Dominique, qui a fait fortune dans les supermarchés, qu'Olivier a pu se lancer dans cette nouvelle aventure en compagnie de son frère Julien. Ils précisent s'être inspirés du Nikki Beach de Bali, un établissement de luxe du groupe Sofitel. 

L'entrepreneur a misé sur des gros noms afin de revamper le site du Beachclub. Paris Hilton, David Guetta, Tiesto, Dan Bilzerian et Kylie Jenner font notamment partie des célébrités ayant floué le sol de la petite ville de Pointe-Calumet : « Je n’ai pas investi dans des publicités à la télévision ou à la radio. À la place j’ai payé pour faire venir des vedettes qui ont fait la tournée des médias et qui ont fait la promotion pour moi. C’est un mode fascinant. Autant il faut une planification de longue haleine, autant il faut savoir réagir en un clin d’œil lorsque les opportunités se présentent. J’ai fait ce que ne devraient jamais faire les entrepreneurs, j’ai mis tous mes œufs dans le même panier et j’ai tout investi dans les médias sociaux. C’était un pari risqué, mais pertinent. Le média social est une bête difficile à saisir. Ça a l’air si facile, mais si vous saviez combien de tentatives j’ai pu faire avant que ça fonctionne ». Le risque en aura valu la chandelle, puisque des commanditaires majeurs sont venus frapper à sa porte. 

 


 

Comme il s'agit d'un club qui n'opère que durant 16 semaines et ce, si la température le permet, Olivier Primeau doit générer un chiffre d'affaires suffisant pour payer un salaire à ses 300 employés : « On ne peut hélas tout contrôler, si la nature ne collabore pas, ça fait mal », explique-t-il. Et, même si l'entreprise connaît un immense succès, Olivier Primeau rappelle qu'être entrepreneur, ce n'est pas de tout repos. Sa mentalité, c'est de s'entourer de gens meilleurs que soi dans plusieurs domaines : « On travaille beaucoup. Le succès est relatif. Au début, c’était l’illusion de l’entrepreneur millionnaire. Il y a une réalité derrière le quotidien. En tant qu’entrepreneur, ce n’est pas parce qu’on connaît un succès populaire qu’on a automatiquement un succès financier. En réalité, il a fallu trois ans avant de générer des profits. On ne compte pas les heures. Oui, je joue un personnage Jet Set qui se la coule douce mais ma réalité c’est le travail. Ma mentalité, c’est de s’entourer de gens meilleurs que soi dans les domaines que tu ne connais pas. Mieux vaut avoir 50% de quelque chose de gigantesque que 100% de quelque chose de petit. La présence de bons partenaires est plus qu’importante ». 

Lorsqu'on lui demande qui l'inspire à repousser ses limites, l'entrepreneur répond Guy Laliberté, le fondateur du Cirque du Soleil : « Je ne prétends pas être lui, mais c’est un exemple de vision et de créativité. Il a vu ce que personne ne voyait. Moi, j’aimerais avoir des Beach clubs partout dans le monde, j’ai un rêve qui est à la hauteur de mes ambitions. C’est un modèle, il faudrait être aveugle pour ne pas le voir ». 

Il est possible de lire l'entrevue en entier sur le site de Forbes France