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Anick Dumontet se confie sur sa relation avec son fils durant le confinement

Une période difficile pour beaucoup de Québécois.

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Le confinement a été éprouvant pour de nombreux Québécois. Si certains ont connu des tensions ou des moments difficiles, d'autres ont pu se rapprocher des gens qu'ils aiment au plus fort du confinement. C'est exactement ce qui est arrivé à l'animatrice Anick Dumontet. 

Elle a raconté en entrevue au magazine La Semaine comment, à force d'être contrainte de rester à la maison avec son fils de 13 ans, elle et lui ont pu discuter de plein de choses dont ils n'auraient pas parlé en temps normal. 

Elle explique aussi que son adolescent a rapidement accepté la situation et souligne la résilience dont il a fait preuve. « Lui et ses amis ont compris et accepté la situation, je ne l’ai jamais entendu dire que c’était plate. J’ai passé un bon moment avec mon gars, une autre dynamique s’est développée. À un moment donné, je me suis dit: «Mon Dieu qu’il jase!» Il me racontait plein de choses, on avait le temps de se parler. C’est un beau rapprochement que nous avons eu la chance de vivre, comme bien d’autres parents avec leurs enfants. Je pense que tout le monde a réalisé ça, autant avec les enfants qu’entre conjoints, parce qu’on était tout le temps ensemble », explique l'animatrice.

Et malgré le fait que son fils soit officiellement entré dans l'âge ingrat de l'adolescence, le confinement n'a pas généré chez lui de sentiment de rébellion comme on a pu assister par la couverture de certains médias chez les jeunes. « Simon a eu 13 ans durant le confinement. Il est officiellement un ado. Je suis bénie des dieux, parce que cet enfant est gentil et que c’est un ange. Tu sais, les ados, on leur a demandé quelque chose de difficile: faire l’école à la maison, sur leur ordinateur. Simon était toujours prêt à l’heure, et je ne l’ai pas entendu se plaindre une seule fois. Mais il ne voyait plus d’amis. Il jouait au hockey parfois jusqu’à deux fois par jour, mais ce n’était plus possible. Je trouvais ça triste et je ne le lui ai pas dit, parce que je ne voulais pas le déprimer encore plus...», se souvient Anick.

On espère que son fils peut aujourd'hui profiter pleinement du fait de revoir ses amis tout en maintenant les mesures sanitaires. 


Source: 7 Jours