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Un temps des fêtes marqué par l'angoisse et le stress pour Éric Salvail

L'heure de vérité approche à grands pas pour l'animateur déchu...

Monde de Stars

Si le temps des fêtes est synonyme de réjouissances pour la plupart d'entre nous, pour Éric Salvail, le stress doit être à son comble.

Dans moins de deux mois, son procès pour agression sexuelle, harcèlement criminel et séquestration débutera.

Dans le Journal de Montréal ce matin, on dresse un inventaire des vedettes déchues qui devront affronter le système judiciaire en 2020 et Éric Salvail figure en tête de liste.

"L’ex-animateur Éric Salvail compte bien se défendre des accusations d’agression sexuelle, de harcèlement criminel et de séquestration qui pèsent contre lui, pour des faits présumés qui remontent à 1993. La vedette, qui est tombée dans l’opprobre dans la foulée du mouvement #MoiAussi, risque un maximum de 10 ans d’incarcération s’il est reconnu coupable au terme de son procès, qui se tiendra en février. S’il réclamait au début d’être jugé par un jury, il a retourné sa veste pour finalement demander un procès devant un juge seul." -Éric Salvail

On s'attend à un procès très médiatisé puisque la présumée victime dans ce dossier, Donald Duguay, a montré cette année qu'il ne compte pas se défiler devant les journalistes et les caméras, lui qui a accordé entre autres une longue entrevue à Tout le monde en parle, et qui a répondu avec aplomb aux questions des journalistes lors de l'enquête préliminaire qui a eu lieu il y a quelques mois.

Il a entre autres assuré qu'il ne s'est pas senti déstabilisé à aucun moment par les questions qui lui ont été posés lors de son contre-interrogatoire.

«Je ne crois pas avoir été malmené de quelque manière que ce soit, c’était des questions tout à fait précises, auxquelles j’ai répondu de la manière la plus précise possible», explique M. Duguay. «Je fais confiance au système de justice».

Lorsqu'il s'était fait demander par les journalistes présents s'il avait été dérangé par la présence d'Éric Salvail dans la salle d'audience, Donald Duguay a laissé entendre que sa mauvaise vision (myopie) avait fait en sorte qu'il n'ait pas été trop stressé par la présence de l'accusé, qu'il n'avait jamais revu depuis les faits allégués.

«Je suis myope. Je n’ai pas vu ses mimiques faciales, ça m’a permis de me concentrer», a-t-il expliqué. «C’est un agent stressant, mais je l’ai bien géré. Je dois y faire face parce que s’il y a lieu d’avoir un procès, il y sera.»

Peu importe le résultat de sa démarche, Donald Duguay se dit convaincu d'avoir pris la bonne décision en engageant le processus judiciaire qui retient l'attention de toute la province présentement.

«Ça donne l’exemple qu’on peut se lever, qu’on n’a pas à avoir honte lorsqu’on est victime et si ça peut inspirer d’autres personnes, tant mieux», a-t-il dit.

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