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Sophie Durocher commente avec aplomb le statut vaccinal de Guillaume Lemay-Thivierge
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Sophie Durocher commente avec aplomb le statut vaccinal de Guillaume Lemay-Thivierge

Elle déplore que le comédien « retarde le groupe ».

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Le statut de non-vacciné de Guillaume Lemay-Thivierge continue d'être sur toutes les lèvres. Après que le comédien eut refusé une entrevue à  Tout le monde en parle,  dimanche, Sophie Durocher en a rajouté une couche dans sa chronique de lundi du  Journal de Montréal

Le titre ? « Guillaume Lemay-Thivierge retarde le groupe ». Cela mérite d'être clair sur la position qu'a Sophie Durocher au sujet de l'attente d'un vaccin « québécois » de la part du comédien. 

Rappelons que le comédien a fait une vidéo la semaine dernière à la suite des révélations de La Presse comme quoi il avait perdu son contrat de réalisation à  District 31 en raison du fait qu'il n'était pas vacciné. Il avait alors spécifié qu'il avait plutôt choisi de recevoir le vaccin de Medicago. 

« S’il veut faire un "achat local", comme on magasine local en achetant des concombres, j’ai des petites nouvelles. Medicago appartient majoritairement... à Mitsubishi », précise de son côté Sophie Durocher. 

Elle ajoute ne pas avoir été convaincue par les arguments soulevés par le comédien, quand il affirme ne pas avoir encore pris de décision et qu'il veut choisir son vaccin. « La maison est en feu, mais Guillaume veut choisir la couleur des extincteurs et la taille des boutons sur le costume des pompiers », illustre-t-elle. 

La chroniqueuse concède que le comédien a le droit à sa liberté d'expression, mais que son statut de personnalité publique l'oblige aussi à faire preuve d'une certaine responsabilité. 

« Quand il fait des déclarations publiques, il est un "influenceur". Et quand il "influence" des gens qui songeaient à se faire vacciner et qu’il les encourage à remettre à plus tard leur décision, il se conduit selon moi de façon irresponsable », tranche-t-elle. 

Elle démolit ensuite l'argument soulevé par le comédien, qui estime que la population est divisée. « Ce n'est pas le vaccin qui divise. C’est la résistance aux vaccins qui divise ! », résume-t-elle. 

« Le fait d’"attendre" pour avoir un vaccin qui lui plaît signifie que chaque jour qui passe où il n’est pas vacciné il se met en danger. Il prend le risque de contracter un virus mortel. Qu’il aille dire ça au personnel de la santé débordé », argue-t-elle par la suite. 

Lisez sa chronique complète ici