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Marie-France Bazzo se confie sans tabou sur sa bipolarité

Elle a abordé sa situation avec une franchise désarmante.

Monde de Stars

Alors qu'elle était en entrevue à Radio-Canada, Marie-France Bazzo s'est livrée avec une franchise désarmante au sujet de sa bipolarité.

« Tu peux passer de l'euphorie la plus totale d'avoir réussi une entrevue [à] c'est fini, puis tu veux te tuer » a-t-elle illustré au sujet de son trouble bipolaire de type II. 

Elle ajoute qu'avant d'être diagnostiquée avec la maladie, c'est son travail dans les médias qui lui permettait de contrôler son trouble. « L'idée d'en finir arrivait quand je rentrais à la maison. Mais, aussitôt que je me remettais au travail, ça se replaçait, parce que j'avais une motivation », explique-t-elle. 

Si elle ajoute mieux contrôler la situation, Marie-France Bazzo veut sensibiliser le public à la maladie, et souligne que sa condition ne l'empêche pas de s'épanouir. 

« Je ne fais pas de politique, je ne fais pas de neurochirurgie. Je ne lancerai pas de mouvement. J’aime croire que je réussis, des fois, à changer des choses» , explique-t-elle, ajoutant que sa famille et elle n'ont pas les mêmes idées au sujet de la bipolarité. Selon elle, le sujet y est aussi tabou que l'idée de choisir de ne pas avoir d'enfants. 

Marie-France Bazzo est également revenue sur la fin subite de son contrat à ICI Radio-Canada Première en 2015, après deux ans d'animation à l'émission matinale. 

Si elle dit avoir conclu une entente avec la direction sur son départ, elle a confié à Stéphan Bureau avoir eu le sentiment d'être « littéralement jetée ». 

« L’émission fonctionnait bien, les cotes d’écoute étaient bonnes, on était en train de construire quelque chose. J’avais un plaisir fou à faire ça, on avait une équipe formidable », se souvient l'animatrice et productrice. 

Rappelons qu'en novembre dernier, elle a également lancé le livre  Nous méritons mieux , sur lequel elle s'attardait sur la situation des médias au Québec. 

« À chaque étage de la production, que l’on soit chroniqueur, animateur, réalisateur, administrateur, producteur ou diffuseur, on peut tous faire mieux. On a tous la responsabilité, malgré le manque d’argent et le désamour des téléspectateurs, des auditeurs et des lecteurs [...] de ne jamais oublier à qui l'on s’adresse et de parler et de donner à tout le monde ce qu’il mérite », avait-elle alors dit. 

Écoutez son entrevue complète en cliquant ici

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