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Marie-Ève Janvier fait de bouleversantes révélations suite au décès de son frère

Son frère Louis-Philippe est décédé du cancer

Monde de Stars

Marie-Ève Janvier est non seulement l'une des artistes les plus appréciées du merveilleux monde du show business québécois, elle est d'abord et avant tout un être humain extraordinaire, pleine de bonté, de générosité et d'humanité. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien qu'elle est la porte-parole du Grand sapin de Sainte Justine, elle qui connait très bien l'hôpital spécialisé dans les soins pour enfants. 

Dans la plus récente édition du magazine 7 Jours, la belle Marie-Ève raconte avec émotion son passé familial douloureux, elle dont le petit frère est décédé lorsqu'il avait 26 ans. Voici quelques extraits de l'entrevue qu'on vous suggère fortement de lire en intégralité dans la plus récente édition du magazine 7 jours:

«Quand on dit que c'est toute la famille qui vit la maladie lorsqu'un enfant est malade, c'est vrai. Je ne l'ai pas vécu en tant que mère, mais je l'ai vécu en tant que grande soeur. Je me suis toujours donné un rôle de deuxième maman. Je n'étais pas la mère de mon frère, mais je me donnais une responsabilité auprès de lui. La maladie a été présente dans sa vie dès l'âge de neuf mois, et jusqu'à ses trois ans. Elle est revenue une vingtaine d'années plus tard. Mon frère est décédé à l'âge de 26 ans. J'ai donc vécu cette réalité deux fois. Au début, je ne comprenais pas trop, mais on me demandait d'être une grande fille. La priorité était mon frère.»

Voici des photos d'enfance où on voit Marie-Ève avec son petit frère Louis-Philippe, qui a perdu la vie en 2013:


«On comprend vite que la vie est fragile. Je me souvient que lorsque j'étais enfant, mon frère était en chimiothérapie. Il n'était pas hospitalité, il vivait à la maison. Un jour, mes parents ont vite sauté dans la voiture pour l'emmener à l'hôpital. Je suis restée avec mes tantes et grands-parents. On vit quotidiennement avec cette fragilité.»

Bien sûr, quand ce genre de drame arrive on essaie de rester le plus fort possible et de faire comme si tout allait bien. Mais un jour où l'autre, il faut vivre son deuil et accepter qu'on n'est pas surhumain. C'est d'ailleurs ce qui s'est passé pour Marie-Ève Janvier qui explique que sa carapace a craqué, deux ans après le décès de son frère.

«Moi ma carapace a craqué un jour parce qu'il faut nécessairement qu'elle craque à un moment donné. Ça s'est produit deux ans après la mort de mon frère. C'est comme si tout le monde autour de moi s'était déposé, que la douceur commençait à s'installer dans nos vies. C'est à ce moment-là que je me suis permis de vivre la frustration, la colère et la tristesse que je ressentais. J'ai laissé tomber les gants, j'ai laissé tomber ma carapace de protection. J'ai accueilli la douleur. C'était comme un échec. C'est terrible de se dire: "Finalement, il est mort. Nous n'avons pas réussi...»

C'est certain que le bagage familial que Marie-Ève Janvier porte avec elle l'amène à avoir un regard sur la vie qui est bien différent de celui des autres femmes de son âge. Et ce, tout particulièrement dans son rapport avec sa fille, Léa.

«Elle a deux ans et demi. C'est quelque chose! Sa personnalité se forge. Elle s'assume. Elle est mignonne! Elle aime la musique. Elle aime danser. Elle me rappelle souvent qu'elle est une grande fille... Je l'adore! À un point tel que ça fait mal! Aujourd'hui, je suis plus en mesure de comprendre ce que mes parents ont vécu. Je me suis rendu compte que j'allais m'en faire pour Léa toute ma vie.»

Voici d'ailleurs quelques photos de la petite Léa, tirées du compte Instagram de Marie-Ève Janvier et publiées au cours des dernières semaines.


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