Monde de Stars

Marianne St-Gelais vit des moments extrêmement difficiles

On pense à toi, Marianne..!

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Marianne St-Gelais vit des moments particulièrement difficiles. Pendant que son ex-amoureux vient de se fiancer, elle essaie tant bien que mal de se sortir d'une période sombre qui ne semble pas vouloir se terminer.

En entrevue avec Sophie Durocher et Richard Martineau à l'occasion du podcast « Devine qui vient souper », l'ancienne patineuse de vitesse olympique s'est confiée avec beaucoup de franchise sur la période extrêmement difficile qu'elle vit depuis qu'elle a pris sa retraite du patinage de vitesse et qu'elle a mis un terme à sa relation amoureuse de longue date et ultra médiatisée avec Charles Hamelin.

Voici quelques extraits du balado que l'on vous suggère fortement d'écouter en intégralité sur le site de QUB Radio.

«Je vais mieux, pis je le sais que je vais mieux. Je ne peux pas dire que je vais bien et que la vie est belle, parce que non, j’ai encore des démons et j’ai encore des trucs à placer. »

«Moi, ce que j’ai trouvé difficile, c’est le fait que tu es toute seule. Je suis une fille de gang, qui a besoin d’être en groupe. Je me sens bien avec des gens autour de moi.»

«Du jour au lendemain, tu n’en as plus de famille. Ma famille de patin, elle n’est plus là. Et ma famille proche, elle est au Lac-Saint-Jean.»

«J’évitais de rentrer chez moi, je ne voulais pas rentrer chez moi. Parce que je savais que ce qui m’attendait, c’était moi, toute seule, sur mon divan, à écouter la télé. Et juste le fait de penser à ça, ça me mettait dans une angoisse pas possible».

«Je n’ai jamais fait d’anxiété de ma vie. C’était les Olympiques le lendemain matin, je dormais à poings fermés. Mais là, je faisais de l’anxiété, je ne dormais pas.»

«Je n’avais plus de carrière, je n’avais plus d’amoureux, j’ai changé de maison, explique-t-elle. On dirait que ma seule stabilité, c’était: “je sais comment m’entraîner et je sais comment manger”.»

«On a tellement une belle discipline de vie je trouve pour ça, que tu n’as pas envie de la chambouler quand ça s’arrête. Parce que justement, il y a tellement de choses qui changent, que tu es un peu en recherche de repères. Honnêtement, mon alimentation et la façon dont je m’entraînais, c’était un peu la seule stabilité que j’avais dans ma vie à ce moment-là.»