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Hugo Dumas en rajoute une couche sur l'affaire Guillaume Lemay-Thivierge
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Hugo Dumas en rajoute une couche sur l'affaire Guillaume Lemay-Thivierge

Il se questionne sur l'avenir du comédien à TVA.

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Après que Guillaume Lemay-Thivierge eut perdu son contrat de réalisation à  District 31 et son rôle de porte-parole du géant automobile sud-coréen Hyundai, Hugo Dumas se questionne sur l'avenir professionnel du comédien à TVA, comme il n'est toujours pas vacciné. 

Dans sa chronique publiée lundi dans La Presse , Hugo Dumas souligne que la chaîne de télévision n'a toujours pas réagi à la controverse, en ce qui concerne les émissions  Chanteurs masqués  et  Si on s'aimait

Rappelons que Guillaume Lemay-Thivierge a précisé dans une vidéo qu'il attendait l'homologation du vaccin Medicago avant de recevoir une première dose. 

« J’ai évidemment sollicité des entrevues avec les patrons de TVA. Mais silence total, zéro retour d’appel », précise Hugo Dumas, qui désire en savoir plus sur la position de la chaîne sur une situation « hyper délicate et embarrassante ». 

Surtout que, dès le 1er novembre, Québecor obligera tous ses « employés, fournisseurs, visiteurs, sous-traitants et consultants » à être vaccinés. Le passeport vaccinal sera imposé à tous les employés, qu'ils soient ou non syndiqués. 

Mais comme  Si on s'aimait  et  Chanteurs masqués cartonnent sur nos écrans, Hugo Dumas précise que «  TVA ne peut pas débrancher Si on s’aimait et Chanteurs masqués, en ondes depuis à peine deux semaines. Il y a beaucoup trop d’argent en jeu ». 

Techniquement, les deux projets à TVA auxquels prend part Guillaume Lemay-Thivierge joueront jusqu'à la fin du mois de novembre. Le mois dernier, les tournages de  Si on s'aimait  se sont d'ailleurs terminés, tandis que ceux de  Chanteurs masqués cessent mardi. Donc avant l'instauration du passeport vaccinal à TVA.

Toutefois, Hugo Dumas, déplore le fait que les Productions Déferlantes aient redirigé leurs questions à TVA et que la chaîne ne réponde pas. « C’est à se demander si cette émission ne devrait pas plutôt s’appeler Chanteurs masqués… et muselés », conclut le chroniqueur. 

Lisez sa chronique complète ici

Source: La Presse