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Denise Bombardier dit sa façon de penser sur les allégations contre Yves-François Blanchet

Sa chronique ne laisse personne indifférent.

Monde de Stars

Denise Bombardier est connue pour faire réagir à travers ses différentes chroniques. Que les gens soient d'accord ou non avec elle, ils ne restent généralement pas indifférents à ses propos. La chroniqueuse s'est récemment exprimée sur les allégations prononcées à l'encontre du chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet. 

«Qui persiste à affirmer que la dénonciation anonyme est une forme de courage ? Réfugiée dans l’anonymat, une femme vient de dénoncer sur Facebook le comportement sexuel présumé du chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, et les conséquences risquent d’être désastreuses pour lui », dit-elle au début de sa chronique publiée dans le Journal de Montréal. 

Les gestes allégués remonteraient à une vingtaine d'années environ. Yves-François Blanchet n'avait pas encore entamé sa carrière en politique. Il était plutôt le gérant du chanteur Éric Lapointe, lui aussi visé par des allégations similaires par une autre personne. Les récits ont été partagés de nombreuses fois sur les réseaux sociaux, mais il n'a pas été possible pour l'heure de corroborer les informations, qui n'ont actuellement toujours pas fait l'objet d'une plainte formelle aux autorités. 

Dans sa chronique du Journal de Montréal, Denise Bombardier souligne que « le malaise est palpable dans toute la classe politique ». « Le premier ministre Trudeau reste coi. Il préfère laisser sa ministre Mélanie Joly gazouiller aux victimes de harcèlement sexuel, "Je vous entends et vous comprends. Il faut du courage pour dénoncer" », cite-t-elle.

« Les conservateurs, eux, refusent de réagir. À Québec, le premier ministre, qui a déjà félicité des dénonciatrices qui sévissent sur les réseaux sociaux, fait maintenant appel à la prudence et souhaite que « les recours légaux soient pris ». Les oppositions PLQ, PQ et QS font profil bas. En fait, c’est motus et bouche cousue », poursuit-elle pour appuyer ses propos. 

« La pureté n’existe pas. Les politiciens devenus parmi les plus mal aimés de nos sociétés atomisées sont des cibles aussi tentantes que vulnérables », constate la chroniqueuse, qui estime que la réputation d'Yves-François Blanchet ne sortira pas indemne des allégations formulées à son encontre. « Or elle est parvenue à abattre son "agresseur", réel ou inventé, sans avoir à se soumettre aux procédures judiciaires. À quand le suivant ? » conclut la chroniqueuse.

Rappelons que le chef du Bloc québécois a vigoureusement nié les faits allégués.« Le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, nie sans équivoque les gestes allégués. Il invite la personne ayant publié les allégations à porter plainte aux autorités compétentes. Le chef du Bloc Québécois souhaite toujours que la justice puisse être interpellée afin de protéger de réelles victimes de gestes criminels. Yves-François Blanchet donnera suite à ses activités professionnelles. Aucun autre commentaire ne sera émis. »


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