Monde de Stars
Anthony Kavanagh a failli mourir et fait de bouleversantes confessions
Facebook 

Anthony Kavanagh a failli mourir et fait de bouleversantes confessions

Un témoignage qui donne froid dans le dos

Monde de Stars

Monde de Stars

La vie d'Anthony Kavanagh a complètement basculé au cours de la dernière année alors qu'en plein milieu d'une série de spectacles, il est passé à deux doigts de la mort. Aujourd'hui parfaitement rétabli, l'humoriste est extrêmement reconnaissant et réalise à quel point il est chanceux d'être toujours en vie. Mais il reconnaît aussi que son corps a essayé de lui envoyer des signes qu'il en faisait trop, mais qu'il ne les a pas écoutés. 

Dans la plus récente édition du magazine La Semaine, l'humoriste se confie sur cette période très difficile de sa vie. Voici quelques extraits de l'entrevue que l'on vous suggère fortement de lire en intégralité dans la plus récente édition du magazine La Semaine.

«Je vais super bien, ma santé est bonne. J'aimerais dire merci à tous les Québécois. Leur bienveillance m'émeut. Partout où j'allais, on me demandait comment allait ma santé. Personne n'a chialé parce que j'ai reporté des shows, Ça, c'est le Québec que je connais et que j'aime. J'ai levé le pied. Je présentais mon spectacle en alternance: deux semaines ici, deux semaines en Europe. Mon corps n'en pouvait plus. Il m'a envoyé des signes à deux reprises, mais je ne l'ai pas écouté. J'ai fait une bursite septique, puis une cellulite. On n'arrivait pas à trouver le bon antibiotique. Chaque jour, c'était pire. J'aurais pu me retrouver dans une boîte...»

Est-ce que l'humoriste a pensé mourir?

«Je n'ai pas pensé mourir. J'ai failli mourir. J'avais des shows au programme. Au lieu de les annuler, ce que j'aurais dû faire, je suis allé les donner en Belgique puis en France et en Nouvelle-Calédonie. J'ai fait trente-deux heures et demie de vol, allongé, avec un cathéter pour les antibiotiques. Je n'avais pas de prédisposition à la maladie, c'est un concours de circonstances. C'est à ce moment-là que j'ai fait une embolie et un infarctus pulmonaire. J'ai dû m'arrêter pendant un mois et demi. J'ai eu de la chance: le système de santé français est extraordinaire! J'étais à l'autre bout du monde, en Nouvelle-Calédonie. J'ai été très bien soigné. Les gens ont été parfaits!»

Malgré tous les problèmes auxquels il a fait face, Kavanagh demeure optimiste et philosophe:

«J'avais des problèmes de santé, mais j'avais une bonne vie, une belle vie. Certains ont beaucoup plus de problèmes que ça dans la leur...»

Source: La Semaine