André Ducharme n'a pas vu son fils et son petit-fils qui vivent à Hong-Kong depuis le début de la pandémie

André Ducharme a vécu un début de pandémie particulièrement difficile, alors que son fils et son petit-fils demeurent à Hong Kong et qu'ils ne se sont pas vus depuis plusieurs mois. En entrevue sur les ondes du 98,5 FM, le scripteur de Tout le monde en parle, de Un souper presque parfait et ex-membre de Rock et Belles Oreilles s'est confié sur plusieurs sujets, dont la troisième vague que vit actuellement Hong Kong.

Voici quelques extraits de l'entrevue qu'il a accordée à Paul Houde et Thérèse Parisien:

«J’ai un début de pandémie très difficile, parce que j’ai eu à gérer beaucoup de choses pendant ce moment-là. Le hasard a fait en sorte que mes parents sont entrés en résidence le 20 mars. C’était très, très inquiétant. J’ai un fils et un petit-fils qui vivent à Hong Kong. À ce moment-là, j’ai réalisé que ça allait prendre beaucoup de temps avant que je puisse les revoir. Je ne sais même pas quand est-ce que je pourrai les revoir. En plus qu’on devait changer la formule pour Tout le monde en parle.»

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« C'est peut-être le fait que j'ai un deux mois d'avance d'information sur la pandémie du fait que Hong Kong a commencé avant nous, que je vois ce qui se passe là-bas et que je me dis que ça s'en vient ici. Hong Kong vit présentement une troisième vague, non pas une deuxième. Et la troisième vague, présentement, est plus forte que les deux premières. »

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« Quand tout ça a commencé là-bas, on était à Hong-Kong. La première que j'ai entendu parler de ce virus-là j'étais en Asie avec ma conjointe, on est revenu quelques jours plus tard et déjà on voyait qu'il se passait quelque chose. Donc ensuite on était ici, on s'inquiétait pour eux et on voyait la situation évoluer, mais on réalisait qu'il n'y avait pas tant de cas là-bas, je pense que la première vague ils ont eu quatre décès sur une population de huit millions et demi d'habitants. 

Quand ça a commencé ici, la personne qui s'inquiétait le plus c'était mon fils qui était à Hong Kong et qui s'inquiétait pour nous. On se parle en visioconférence et on se voit tous les jours, et un jour il nous a dit qu'il voyait ce qui se passait en Amérique et qu'il s'inquiétait pour nous. Il a eu raison. Mais là là-bas la troisième vague est très très forte. Présentement c'est peut-être les mesures de restriction les plus importantes depuis le début de la pandémie, ils les vivent présentement. »

On vous encourage fortement à écouter l'entrevue en intégralité juste ici, sur le site du 98,5 FM.